La Seduction De La Baby-Sitter Ch. 03

Informations sur Récit
Une étudiante poursuit sa transformation en salope lesbienne.
5.1k mots
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2

Partie 3 de la série de 9 pièces

Actualisé 03/11/2022
Créé 12/26/2010
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Ce qui suit est la traduction d'un texte de Watchwag paru en anglais en 2008 : "Seducing the Babysitter Chp 03".

Traduction et mise en ligne avec l'aimable autorisation de l'auteur.

J'ai tenté de faire au mieux pour restituer ce texte sans le dénaturer. Je vous invite, si cela est possible, à le lire dans sa version originale.

D'autres chapitres devraient suivre.

*

Je regardais la télévision au sous-sol, profitant à fond de la folie des tournois de basket du printemps, lorsque j'entendis Ann rentrer et déposer ses clefs sur le comptoir de la cuisine. Histoire de lui faire savoir que je savais qu'elle était de retour, je lui demandais distraitement si elle avait acheté quelque chose de spécial. Elle était partie ce matin en disant qu'elle ferait les boutiques et passerait peut-être voir Lisa au retour.

Vous vous souviendrez sans doute de Lisa - si vous avez lu la série : « La séduction de la baby-sitter » - comme de son amie lesbienne. Lisa et Ann se rencontrent très régulièrement pour un peu de sexe entre filles. Lisa vient ici à l'occasion et c'est vraiment très excitant de voir les filles en pleine action. Malheureusement, si Lisa ne voit pas d'objections à ce que je regarde, je n'ai jamais été autorisé à participer. Elle l'a fait très clairement savoir : je n'ai le droit de toucher qu'avec les yeux.

Il y a quelques semaines, Ann a présenté Lisa à notre baby-sitter, une petite étudiante qui avait gardé les enfants de mon frère pendant que nous étions à une fête. Katherine était une petite blonde innocente dont l'expérience sexuelle était très, très limitée. Ma femme était rentrée à la maison pour la surprendre regardant nos films amateurs et elle s'empressa de l'aider à explorer sa sexualité à l'aide d'un peu de sexe saphique.

Ann la présenta à Lisa qui mit toute son énergie à faire de cette petite étudiante son jouet sexuel lesbien. Lisa est une brune spectaculaire dotée de grands yeux bruns dont la vue suffirait à provoquer une érection chez n'importe quel homme. Dommage qu'elle ne soit pas à voile et à vapeur. Elle est également très dominatrice dans sa façon de faire l'amour. Elle est du genre à prendre les choses en main dès le départ.

Si j'ai bien observé Lisa et Ann ensemble en plusieurs occasions, à peu près tout ce que je sais d'elle, je le tiens d'Ann. Elle sait que ça m'excite beaucoup d'entendre tous les petits trucs pervers que Lisa lui fait faire. Même si elle possède une grande variété de jouets qu'elle utilise sur ma femme et jouit de la dominer, à ma connaissance, leur relation n'a jamais été basée sur le sadomasochisme.

Je ne pus m'empêcher de songer à tout le chemin parcouru par ma femme depuis la femme au foyer coincée d'il y a quelques années. Tout comme Katherine, ma femme n'avait qu'une expérience du sexe très limitée. Si je ne fus pas le premier amant d'Ann, nous nous fréquentâmes exclusivement à l'université et nous mariâmes à l'obtention de nos diplômes. Ann regardait ailleurs à l'université lorsque je me permettais une incartade de temps en temps. Mais je pense qu'elle avait toujours su que je reviendrais vers elle et cela ne semblait pas la déranger outre mesure.

En l'espace de trois ans, nous expérimentâmes la domination, devinrent la « possession » d'un homme noir qui nous prostitua au bénéfice de ses amis, nous marqua comme étant ses propriétés, et nous engageâmes tous les deux dans des relations extraconjugales. Ann convainquit même sa sœur Cindy de se laisser séduire par notre maître noir Mark. Ce fut sans doute là que je réalisais à quel point Ann était vraiment soumise. Plus nous nous enfoncions dans cette voie, et plus nous nous pervertissions.

Je regardais la partie menée par l'Université du Connecticut à la télé lorsque Ann entra, se mit à genoux entre mes jambes et sans ajouter un mot, fit tomber mon short de sport. Ann prit ma queue flasque dans sa bouche et commença à enrouler sa langue humide autour d'elle. Ann avait de douces lèvres charnues et elles montèrent et descendirent le long de mon membre, alors que mes pensées s'éloignaient du jeu. J'ai toujours apprécié ses fellations. Elle se mit à me masturber, sucer le gland, et passer la langue sur la couronne de ma queue.

Lorsque mon membre viril fut en érection, elle s'ébroua pour faire glisser sa culotte et se releva pour me chevaucher, son con humide enveloppant ma bite raide. Elle garda sa jupe, faisant passer son haut par-dessus sa silhouette, exposant ses seins nus aux pointes déjà dures. Je passais mes mains derrière son dos et aspirais un téton dans ma bouche alors qu'elle poussait un petit cri et chevauchais ma queue raide.

Je passais ma langue sur son sein tout en mordillant le téton pendant qu'elle montait et descendait le long de ma queue, son cul claquant contre mes jambes. La tête d'Ann partit en arrière comme elle caressait son petit clitoris et martelais ses hanches contre moi. J'enroulais mes bras autour de ses hanches et la tint fermement pendant qu'elle chevauchait mon érection. Je pouvais sentir mon orgasme monter comme Ann enfonçait ses seins dans mon visage. Je ne pus me retenir et éjaculais de longs jets de sperme chaud dans sa caverne humide. Je donnais un grand coup de rein dans sa chatte, essayant d'enfoncer ma bite aussi loin que possible dans sa cavité brûlante.

Lorsque je ralentis mes efforts, Ann se laissa glisser et se redressa face au canapé afin de présenter sa chatte à mon visage. Je savais ce qu'elle voulait et n'hésitais pas, pressant mon visage dans son minou rasé. Ma bouche recouvrit ses lèvres et j'enterrais ma langue dans sa caverne brûlante, goûtant ses liqueurs mélangées. Je pouvais goûter mon sperme s'écoulant de sa chatte alors que je la lapais.

Elle continua à masser son clitoris pendant que j'aspirais mon sperme chaud hors de sa chatte. Ses gémissements me laissaient entendre que je faisais du bon travail alors qu'elle poussait ses lèvres chaudes contre ma bouche. Elle tira sur mes cheveux et écrasa sa chatte contre mon visage tout en jouissant. Ses orgasmes la secouèrent tandis que ses jambes étaient agitées de soubresauts pendant que je poursuivais mes assauts.

Finalement, elle se laissa glisser jusqu'à s'asseoir sur mes genoux, sa langue s'enfonçant entre mes lèvres. Sa bouche semblait tiède alors qu'elle goûtait les liqueurs mélangées de mon sperme et de sa chatte. Nous nous embrassâmes quelques minutes avant qu'elle ne se laisse glisser à terre, épuisée par notre passion furieuse.

Lorsque nous eûmes récupéré suffisamment, je luis demandais ce qui l'avait excité à ce point. Si je lui en était reconnaissant, je savais que quelque chose l'y avait poussé.

« Je viens de quitter Lisa et... bon dieu, ça m'a excité... » commença-t-elle. « Je suis allé faire les boutiques ce matin et Lisa m'a invité à passer. Quand je suis arrivé chez elle, j'ai sonné et frappé à la porte, finissant par entrer comme personne ne venais. Je supposais qu'elles étaient en bas dans le pavillon, » continua Ann.

Lisa vit dans un complexe d'appartement très sélect. Ses portes de derrière font face au pavillon qui compte à la fois une piscine extérieure et une autre intérieure chauffée avec jacuzzi et salle de conférence dotée d'une télévision grand écran et d'un bar. C'est de loin le plus beau pavillon que j'ai jamais vu. Comme il faisait trop frais pour s'allonger dehors, Ann s'était dirigée vers l'arrière du pavillon avec sa piscine intérieure.

« Je vis Lisa allongée sur le ventre, flottant sur un matelas gonflable. Je regardais autour de moi et supposais qu'elle était seule car il n'y avait là que quelques personnes allongées dans des chaises longues. Je m'apprêtais à l'appeler lorsque j'entendis mon nom. Me retournant, je vis Katherine. Je t'assure que je ne l'aurais jamais reconnue si elle ne s'était pas redressée et appelé. Elle avait coupé ses cheveux... enfin, je vais un peu trop vite. Ses cheveux avaient été coupés. »

Katherine avait de magnifiques longs cheveux blonds qui se divisaient en leur milieu pour reposer juste sous ses épaules. La nuit où elle, Ann et moi nous retrouvâmes, je me souvenais de leur douceur lorsque j'y enroulais mes doigts, tirant sa tête en arrière pendant que je plongeais ma queue dans sa chatte serrée d'étudiante.

« Et bien, elle ne les a plus, » dit Ann en me regardant directement dans les yeux. « Elle les a coupés courts, juste à la base de son cou et autour des oreilles. J'ai failli ne pas la reconnaître. Elle me fit signe de la rejoindre et je m'assis comme elle se penchait pour passer ses bras autour de mon cou. Elle pris une gorgée de son vin et m'offris d'y goûter. Je pris une gorgée du chaud nectar pendant qu'elle m'expliquait sa joie de me voir ici. »

« Nous papotâmes pendant quelques minutes avant que Katherine ne me confie son bonheur. Je ne pouvais croire à quel point elle avait changé et m'enquérais des derniers événements depuis notre dernière rencontre. »

« Et bien, » commença-t-elle, regardant par terre, « tu te souviens quand j'ai quitté ta maison, j'étais... et bien, Lisa m'a obligé à rester nue jusqu'à chez elle. Nous avons roulé jusqu'à la maison cette nuit là et elle m'a ordonné de placer mes pieds sur le tableau de bord, les jambes écartées, me masturbant et jouant avec mes tétons. Elle m'a fait mettre mon sein dans ma bouche et le lécher.

De temps en temps elle ramènerait sa main vers moi pour que ses doigts viennent fouiller mon con, puis elle me faisait nettoyer ses doigts de la langue. Et pendant tout ce temps elle me demandais quelle genre de fille laisserait une femme la déshabiller et jouer avec sa chatte. Elle me dit que je devais être une sacré salope. En fait, plus elle m'insultait, plus ça m'excitait.

Quand nous arrivâmes à son appartement, elle me dit de sortir et de la suivre à l'intérieur. J'étais terrifiée. Enfin, à la fois terrifiée et excitée. Je vis que des voitures nous avaient suivi et je me demandais qui avait pu me voir sortir de la voiture, nue comme un ver. »

« Lisa ouvrit sa porte et je rentrais dès que les lumières s'allumèrent. Je ne pourrais dire que je regardais autour de moi alors que je la suivais. Tout ce dont je me souviens c'est du sol froid sous mes pieds nus et du vent frais sur mes seins pendant qu'elle marchait nonchalamment jusqu'à la porte pour nous laisser entrer. »

« Au début, j'étais quelque peu embarrassée de la suivre ainsi de pièces en pièces toute nue, mais finalement, je commençais à me détendre, particulièrement lorsqu'elle nous versa un verre, et me fit asseoir avec elle sur le canapé. Nous parlâmes longtemps avant qu'elle ne me demanda de prendre une douche avec elle. Je le fis, et comme nous étions debout sous la douche, et qu'elle faisait glisser ses mains sur mon corps, je sentis de plus en plus que je lui appartenais. Elle me fit shampouiner ses cheveux et j'appréciais de pouvoir les masser, de savonner ses seins, et de glisser ma main contre sa chatte. C'était étrange pour moi de passer ma main dans le creux de ses fesses, de savonner sa chatte, et sous son encouragement, de tremper mon doigt dans sa caverne brûlante. »

Plus tard, nous allâmes au lit et elle me souhaita bonne nuit d'un langoureux baiser. Avant que nous ne sombrions dans le sommeil, elle m'honora et me lécha. Juste au moment où je pensais que j'allais jouir, elle me retourna et enfonça sa langue dans mon cul. Personne ne m'avait jamais fait cela. C'était une sensation merveilleuse. Mon cul était trempé de ses administrations et de l'écoulement de ma mouille et elle commença à faire aller et venir ses doigts entre mes fesses. Je pensais que mon cul était en feu tellement il me chatouillait. Je vins avec force sans même qu'elle ne touche à ma chatte.

Après cela, elle me remit sur le dos et rampais jusqu'à s'asseoir sur mon visage. Elle était déjà très humide et j'adorais le goût de ses liqueurs. Je n'en avais jamais assez et je plaçais ma bouche sur son con pour sucer tout ce que je pouvais. Je voulais tout d'elle. Puis elle s'avança et je contemplais sa cavité brune. Elle se contractait comme si elle me faisait des clins d'œil... m'invitant à la lécher.

Lisa me demanda... non, en fait elle me commanda... me commanda de la lécher. De la lécher là et de m'y habituer au plus vite. Elle aimait que les femmes lui lèche le cul. J'approchais la pointe de ma langue de son trou et goûtait son amertume, mais il était humide de ses liqueurs vaginales et je passais ma langue de la base de sa chatte à son anus. J'enfonçais ma langue tout au fond comme elle l'avait fait pour moi et j'entendais Lisa grogner.

J'ouvrais les yeux et l'observais empoignant ses seins et tirant sur les pointes. J'aimais lui offrir ces sensations et balayais ma langue dans les profondeurs de son cul. Elle me fit la lécher pendant un moment avant de me demander de lui enfoncer le doigt dans l'anus. C'était vraiment mouillé et j'enfonçait facilement un, puis deux doigts au-delà de la première phalange.

De l'autre main, je caressais son petit clitoris et elle se frotta contre mon visage. Je ne pouvais presque plus respirer, mais j'adorais avoir mon visage enterré entre ses fesses. Elle rebondit de haut en bas sur mon visage secouée d'orgasmes successifs.

Lorsqu'elle se laissa glisser de côté, elle me serra et m'embrassa sur les lèvres. Nous étions, l'une comme l'autre, recouvertes de nos jus respectifs et elle lécha mon visage avant de m'attirer contre sa poitrine. Je m'endormais ainsi. Je pouvais entendre battre son cœur à l'unisson du mien.

Le lendemain, à mon réveil, j'avais du mal à me souvenir où j'étais. Je me redressais pour regarder autour de moi avant de me remémorer ma nuit avec Lisa. Je vis une robe dans un coin et l'enfilais tout en descendant le couloir, humant un parfum de nourriture en provenance de la cuisine. Lisa faisait des omelettes. Elle leva les yeux quand je me pointais sur le seuil. »

« Je ne me souviens t'avoir autorisé à porter cette robe, » dit Lisa d'un ton sec. Lisa était elle-même vêtue d'un t-shirt qui descendait juste en dessous de ses hanches et qui mettait en valeur ses magnifiques jambes bronzées. « Je ne pensais pas que tu y verrais une objection, » répondais-je.

« J'en vois une. De fait, au cas où je ne me suis pas montrée assez claire, à partir de maintenant, j'attends de toi que tu sois nue en permanence dans cette maison. Si je veux que tu portes quelque chose, je te le ferais savoir. Maintenant, va remettre ceci où tu l'as prise. »

« Je retirais sa robe et la reposais sur la chaise dans la chambre puis retournais dans la cuisine où Lisa mettais les assiettes sur la table. C'était un peu étrange de manger toute nue pendant que Lisa mangeait son petit déjeuner et poursuivait sa conversation avec moi, me posant des questions sur ma co-locataire et les études. »

« Après le petit-déjeuner, je l'entendis au téléphone avec Susan. Tu la connais, n'est-ce pas? » demanda Katherine.

J'acquiesçais. Susan était une amie proche de Lisa. Je l'avais rencontrée à plusieurs reprises durant certaines fêtes où nous nous étions rendues. Elle possédait un salon de coiffure et comme Lisa était exclusivement une lesbienne qui adorait séduire des hétérosexuelles. Susan voyait cela comme un défi de s'attaquer à des gonzesses fiancées pour voir si elle pourrait leur faire changer d'avis. Souvent, apprenant qu'une cliente venait de se fiancer, elle organiserait un rendez-vous tard le soir... sa dernière cliente de la journée. Plus d'une rencontre se vit abrégée lorsque Susan passa d'une coupe de cheveux à une épilation gratuite. Avant la fin de la soirée, la cliente ingénue partirait avec une nouvelle apparence et un nouveau regard sur le monde. Si quelques unes allèrent jusqu'au mariage, plus d'une laissa tomber son petit ami pour se tourner vers un style de vie lesbien.

« Et bien, Susan est venue et a coupé mes cheveux et le reste... tu aimes? » demanda Katherine en tournant la tête.

« Oui, ma chérie, tu es très jolie... d'une façon différente. J'ai failli ne pas te reconnaître.

« J'aime les porter court... oh, et regarde. J'ai un tatouage, comme toi. » Katherine me présenta son derrière me montrant un tigre à la base de son dos, juste au dessus de son bikini. C'était un tigre en chasse. Elle avait autour du cou un collier noir avec des clous d'argent. La signification d'un collier sur un chat ne m'échappait pas.

« Tu aimes?, » demanda Katherine. « Oui, beaucoup, » répondis-je.

« C'était l'idée de Lisa. Et elle m'a donné ça, » dit Kat en soulevant une chaîne d'or qui pendait autour de son cou. Je n'y avais guère prêté attention jusque là mais réalisais également sa signification. « Lisa a dit que le tatouage était son cadeau. Ann... Je ne puis te remercier assez pour nous avoir présenté. Je... Je l'aime. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme elle auparavant. »

Je regardais Lisa pagayant des mains sur son matelas gonflable jusqu'au bord de la piscine. Elle s'en extirpa et marcha jusqu'à nous, nous demandant depuis combien de temps j'étais là. Elle se pencha et, sans se préoccuper de qui pourrait la voir, planta un baiser mouillé sur les lèvres de Katherine tout en s'emparant d'une serviette, puis nous demanda toutes deux de la suivre jusqu'à l'appartement.

Ann ouvrit la porte de derrière et entra dans la cuisine pour nous y prendre des boissons fraîches. Je regardais derrière moi pour voir Katherine se défaire de son bikini et le déposer sur une table près de la porte. Je fus fort amusée de constater qu'elle s'était déshabillée sans qu'on le lui ordonne. Je ne pus m'empêcher de la regarder passer, aussi nue que le jour de sa naissance. Ses petits tétons étaient dressés sur ses seins. Je remarquais également que la petite touffe de poils blonds qui avait jadis décoré le sommet de sa chatte, avait maintenant disparu.

Nous nous assîmes dans le salon et Lisa me demanda si je voulais voir un petit documentaire qu'elle avait fait pour rendre compte des progrès de Kat. Lisa s'assit et allongea ses jambes sur le canapé. Katherine s'assit sur le sol près d'elle, sa tête reposant sur la jambe de Lisa tandis qu'elle allumait la télé haute définition et le lecteur vidéo.

L'image d'une Katherine nue apparut alors que l'on pouvait entendre les voix de Lisa et Susan hors champs. « Je les veux courts. Je veux une nouvelle apparence pour ma petite chérie, » disait Lisa. L'image d'une Katherine soumise remplit l'écran, réalisant que c'était son avenir qui était discuté.

« C'est-ce que tu veux, n'est-ce pas, mignonne? Tu veux faire cela pour moi? » disait Lisa. Katherine hocha lentement la tête alors que Susan apparaissait à l'écran. C'était étrange de voir Susan entièrement vêtue alors que Kathenrine était assise nue sur une chaise à ses côtés. Susan plaça un peigne entre ses dents tout en empoignant des touffes des cheveux de Katherine et commença à jouer des ciseaux. Les touffes de cheveux tombèrent, certaines sur ses seins, avant de glisser jusqu'au sol.

Susan prit une bouteille d'eau et en arrosa les cheveux de Kat, poursuivant son assaut, jusqu'à ce que peu à peu ses oreilles deviennent visibles. La caméra zooma sur le visage de Katherine comme on pouvait voir sa lèvre inférieure trembler et des larmes rouler le long de ses joues. Susan peignit les courtes tresses de ses cheveux et continua à couper jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite de la nouvelle coupe en brosse, dégageant les oreilles, et exposant la base de la nuque de Katherine. Je ne pouvais détacher mes yeux de Katherine qui fixait l'écran, mais qui donnait l'impression qu'elle observait quelqu'un qui lui était totalement étranger.

Satisfaite, Lisa demanda à Susan de la ramener dans la salle de bain pour terminer le travail. Je savais qu'elle voulait dire une épilation totale et sans doute un lavement pour parachever la soumission absolue de Katherine. Il y eut une brève coupe dans le montage indiquant un hiatus comme Lisa filmait le retour de Katherine et Susan. La courte coiffure de Katherine était humide et elle semblait très différente de la jeune fille apparue plus tôt dans la vidéo. La caméra zooma sur la petite chatte de Katherine qui était totalement nue. Lisa l'appela et passa ses doigts le long de sa peau délicate, enfonçant le doigt dans sa petite caverne brûlante.

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