L'amant de Ma Femme

BÊTA PUBLIQUE

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Bernard la fit mettre à genoux et se présenta derrière elle. Michelle avait parfaitement compris les intentions de son amant et elle lui offrit une croupe rebondie. Bernard lui écarta les lobes fessiers et présenta sa bite à la fente trempée qui engloutit son membre en même temps que Michelle poussa un râle de soumission. La bite de Bernard lui faisait du bien, et elle l'acceptait d'autant mieux qu'il n'ignorait plus grand-chose de la vie sexuelle de mon épouse.

Il la baisa furieusement, la pilonnant de coups de bite profonds qui tiraient à Michelle des plaintes et lui faisait mordre ses lèvres pour ne pas crier. Parfois je voyais son visage se tordre sous la douleur que lui infligeait le membre dilaté de Bernard qui lui baratait son utérus. Elle n'osait protester, sans doute y prenait elle plus de plaisir que de douleur, en tout cas la douleur faisait partie de sa jouissance.

Fascinant, c'est le seul mot qui me venait à l'esprit en les voyant ainsi, Bernard, le corps sec, les muscles tendus et Michelle, le cul relevé, le nez dans l'oreiller qu'elle mordait pour ne pas crier trop fort. Mais des plaintes sortaient de ses lèvres, des plaintes dont j'aurais été incapable de dire si elles étaient dues à la douleur ou au plaisir que lui procurait l'amant que je lui avais donné et qui la prenait comme jamais elle ne l'avait été auparavant.

Les mâchoires crispées, le coup de rein furieux, je voyais Bernard, puissant comme jamais je ne l'avais vu. J'admirai ses muscles, qui malgré son âge lui conféraient un corps d'athlète. Son ventre plat sans une once de graisse qui venait taper le cul rebondit de Michelle, provoquant des vagues dans la chair molle de ses fesses et jusque dans ses cuisses. Le spectacle était une réelle fascination pour moi, jamais de ma vie je n'aurais imaginer voir mon épouse, la mère de mes enfants, ainsi prise devant moi, le vagin baraté par la bite d'un autre homme, proprement défoncée sur notre lit.

Bernard accéléra encore, provoquant une plainte continue de la part de sa partenaire, plus offerte que jamais, je voyais saillir les muscles de ses bras qui tenaient fermement les hanches de mon épouse, je la voyais panteler sous lui, gémir à la fois de douleur et de plaisir. Sa douleur était réelle et j'entendais de temps en temps des aïe! Qui franchissaient ses lèvres et des crispations de son visage que je ne quittais plus des yeux.

Il poussa une sorte de hennissement, un cri ultime et il mit toute sa force à propulser son engin dans le ventre de Michelle. Il se colla à elle tandis qu'elle se cambrait sous lui, tendue à l'extrême et dans des grognements sauvages, il se vida en elle une nouvelle fois, en lui tirant des plaintes qui se mêlaient à ses larmes. Sans ménagement, Bernard lui remplit le vagin d'une nouvelle décharge de sperme plus violente que la précédente et sans doute plus abondante aussi. Quand il se fut bien repu de son corps, il se détacha d'elle et l'abandonna sur la couche, toujours a genoux, offerte et inondée de foutre.

Cette fois les deux amants étaient repu, au bout d'un temps qui me parut long, Michelle s'ébroua avec difficulté, étirant son corps encore très désirable malgré la quarantaine passée. Je ne pus réprimer une bouffée de désir en la voyant ainsi, allongée sur notre couche, sortant des bras d'un amant. Bernard lui, bondit du lit et se rhabilla prestement.

Il s'en suivit une discussion très urbaine sur des sujets variés mais qui évitèrent le cul tant que ma femme fut présente. Puis, celle-ci disparaissant dans la salle de bains, Bernard me fit part à voix basse ses premières impressions. Il trouva en Michelle une maitresse déjà aguerrie et bien informée des choses du sexe. Il me posa encore quelques questions sur son comportement dans l'intimité et je dus me rendre à l'évidence, ma femme me cachait une partie de ses talents au lit.

Bernard me convainquit qu'il pouvait faire de Michelle une parfaite courtisane pourvu que je la lui confie. J'hésitais quelque peu, mais il sut trouver les mots qu'il fallait pour emporter ma décision, me faisant comprendre que le plus gros du travail était fait et que Michelle semblait demandeuse. Il l'avait sentie sous lui, frissonnante, pleine d'un désir réprimer, offerte et il se faisait fort de l'amener à plus de sensualité encore.

Il ne m'en dit pas plus ce soir la. Bernard pris congé de nous dès que ma femme fut de retour de la salle de bains, Michelle apparut rayonnante et souriante, une vraie femme comblée. Bernard en profita pour la caresser encore intimement tout en l'embrassant pour lui dire au revoir. Michelle gloussait dans ses bras, conquise, et surtout elle me parut disponible et prête à suivre son amant la où il voudrait bien l'emmener.

Dans un dernier clin d'œil, il me serra vigoureusement la main en me promettant de m'appeler sans délai, puis la porte se referma sur Michelle et moi, face à face. Elle me joua l'ingénue quand je lui demandais ses impressions. Elle éluda, jouant les blasée, ou la femme qui a aimé mais sans plus. Un discours qui contrastait avec celui de Bernard quelques minutes avant. Je n'insistais pas, me contentant de la caresser au lit comme tous les samedis soir et de lui faire l'amour de mon mieux. Elle accepta de bonne grâce, mais je ne la retrouvais pas aussi frissonnante qu'avec Bernard quelques instants avant. Je ne fis aucune remarque, elle poussa quelques gémissements polis et tout fut dit.

Le lundi au bureau, le téléphone sonna tôt comme je l'attendais. C'était Bernard qui me salua chaleureusement, me demandant si j'avais passé une bonne nuit. Je le rassurais et lui demandais à mon tour s'il n'était pas trop fatigué.

« A propos de fatigue, me répondit il, comment va Michelle se matin? »

Je l'assurais qu'elle allait bien, que je l'avais trouvée plus gaie que d'habitude et plus heureuse de vivre.

« Tu sais que j'ai pensé à elle, enfin je veux dire, ce que je pourrais faire avec elle, bien sur, si tu l'accepte. »

« Dis toujours. »

« Tu sais que je suis sortis plusieurs fois avec ma femme dans cette boite échangiste à Paris, j'ai pensé que je pourrais y aller avec ta femme. »

Je restais un peu sans voix. Je savais que Bernard et sa femme fréquentaient cette boite assez assidument les samedis soirs, il m'en avait raconté les détails, les hommes qui prenaient les femmes les uns après les autres, les femmes qui repartaient soutenues par leur partenaires tant elles étaient épuisées par la baise. Il m'avait dit avoir soutenu sa femme jusqu'à leur domicile car elle avait subit tant d'hommes qu'elle ne tenait plus sur ses jambes. Je savais tout ça, et je savais aussi qu'un moment ou l'autre viendrait cette interrogation de sa part. Il m'appartenais de dire oui ou non. Mais au fond, mon accord avait il de l'importance? Bernard ne pouvait il pas contacter Michelle sans me le dire et l'emmener la où il voudrait?

Je lui donnais donc mon accord en lui demandant toutefois de prendre soin d'elle.

« Ne t'en fait pas, me répondit il, je veillerai sur elle, il n'est pas question qu'elle fasse tout ce que ma femme a fait. »

Je ne le crus qu'à moitié, je connaissais Bernard d'assez longue date pour savoir que dans le feu de l'action, il ne contrôlait pas toujours tout, je l'avais connu assez directif avec les femmes, les forçant parfois. Mais l'excitation de savoir Michelle en boite était la plus forte, et puis me disais je dans le fond, si elle souffre par le cul, elle l'aura cherché.

Il me fit part alors d'un stratagème, le bougre, avant même de me téléphoner il avait son plan en tête! Ça ne m'étonnait pas, connaissant le personnage je le savais assez pervers pour y avoir pensé. Il m'exposa son plan: il voulait inviter Michelle en journée à le rejoindre dans cette boite où il avait ses habitudes. Il aurait au préalable, avertit quelques amis surs à lui et il comptait ainsi partouzer ma femme.

« Combien seront-ils? » demandais je un peu inquiet quand même.

« Juste deux potes et moi, pas plus. »

Je donnais mon accord à Bernard ainsi que le téléphone de Michelle, lui laissant l'initiative tout en lui demandant de me faire part des réactions de mon épouse et de l'avancement du projet. Il m'assura que je serais au courant de tout du début à la fin, me proposant même, de m'appeler au téléphone depuis la boite échangiste.

Et puis le temps passa, je n'eu plus de ses nouvelles pendant une semaine. Je guettais les réactions de mon épouse, mais rien dans son comportement ne me laissait présager quelque chose de particulier. Elle était parfaitement naturelle, comme tous les jours. C'est à peine si elle me reparla de Bernard pour me demander si j'avais de ses nouvelles. J'éludais en lui disant que je n'en avais aucune tout en rajoutant « Et toi? » Mais elle ne tomba pas dans le panneau, me répondant en riant que c'était mon pote après tout et qu'elle n'avait pas à avoir de ses nouvelles.

Pourtant un beau matin le téléphone sonna sur mon bureau, je décrochais machinalement et la voix de Bernard me sauta aux oreilles, « ça y est! Me dit il, elle a accepté!! »

« Qui a accepté quoi? »

« Mais ta femme!! Elle a accepté de venir en boite cet après midi! »

Je restais un peu sans voix, ma gorge soudain s'était asséchée. Ainsi, il avait travaillé Michelle au corps et il avait réussit dans son entreprise. Je ne demandais pas de détail à Bernard mais j'envisageais assez bien qu'il avait du la rencontrer à mon insu, l'emmener à l'hôtel et passer avec elle de bons moments.

« Elle a accepté...comme ça? »

« Heu...il a fallu que je sois diplomate mais elle a fini par accepter. »

Diplomate! Je m'abstenais de lui demander en quoi consistait sa diplomatie, mais j'imaginais plutôt un complot autour de Michelle. Au fond, je l'avais voulu alors autant l'accepter, il serait bien temps plus tard de demander des détails à Bernard. Je savais qu'il ne me les refuserait pas.

« Et quand cela doit il se produire? »

« Cet après midi, elle doit venir me rejoindre vers quatorze heures. »

« J'avoue que j'aimerais être une petite sourie! »

« Ne t'inquiète pas! Je te raconterai tout! »

Je n'en doutais pas, Bernard n'était jamais avare de ses exploits féminins, au point de me les faire partager parfois.

« Bon, je compte sur toi pour que ça se passe au mieux! »

« Je te le promets, à plus. »

Le téléphone devenu soudain muet, je ressentis une profonde solitude. Quand Bernard était venu chez nous, j'étais présent, j'avais vu Michelle se faire prendre par lui, mais la c'était l'inconnu, tant pour elle que pour moi. Vers quoi allait elle aller? Quels étaient ses sentiments à ce moment? Au fait, comment s'était elle habillée ce matin? Je cherchais en vain dans ma mémoire, tant la routine entre nous faisait que j'étais oublieux de son apparence.

« Bien fait pour ta gueule! » Me dis je presque à voix haute, et je tentais dans un soupir de penser à autre chose.

Mais rien n'y fit, cet après midi la fut comme une espèce de torture, une torture entrecoupée de moments d'excitation intense quand je pensais fort à Michelle, que je l'imaginais les cuisses bien écartées recevant les hommages des hommes qui se pressaient autour d'elle la bite à la main. J'imaginais Bernard, mon pote voyeur et pervers guidant l'un ou l'autre, maitre de cérémonie attentif à la jouissance de ma femme, lui apprenant des choses qu'elle n'avait pas imaginé, la forçant doucement à recevoir en elle deux hommes, l'un par devant l'autre par derrière, déclenchant un torrent de jouissance malgré la douleur au début, et puis petit à petit, à force de persuasion et de vaseline, Bernard l'amenant à l'acceptation de deux bites en elle, deux forts calibre qui lui étirent les chairs. Et puis encore un autre sexe qu'il guide jusqu'à sa bouche et s'il en est encore autour d'elle, un dans chaque main.

Mon imagination court remplissant ma tête d'images scabreuses de Michelle, ma femme tant chérie, écartelée par cet homme qui entra dans ma vie un jour, mais cela est une autre histoire. Ma femme livrée à lui, mais qu'ai-je fait la? Pourquoi? Je suis moi-même un pervers de l'avoir présenté à Bernard, car je savais, oui, je savais que cela arriverait, ce jour de perverse souffrance que je suis en train de vivre.

Le temps est interminable, je me demande s'il l'est aussi pour Michelle. Mieux ne vaut plus y penser, je rafle ma veste et je m'en vais sans me retourner, je quitte le bureau sans saluer personne et je pars au hasard des rues la tête trop pleine d'images obscènes.

Je ne sais comment je suis parvenu chez moi, mais toujours est il que j'y étais quand elle est rentrée. Il était tard, plus tard que son heure habituelle. J'ai entendu sonner à la porte, je suis allé lui ouvrir, je l'ai vue en face de moi, j'en ai été tétanisée, un baiser furtif au coin des lèvres et voila qu'elle file dans la salle de bains et s'y enferme. Ce n'est pas son habitude, bientôt j'entends la douche couler, cela dure longtemps longtemps. Puis tout s'arrête, je suis dans la cuisine, je prépare notre repas du soir. Je l'entends aller dans la chambre et enfin elle me revient en robe de chambre, mais toujours avec son air bizarre, renfrogné, qui me dissuade de lui poser la moindre question. Je n'en ai nulle envie d'ailleurs, mais j'ai hâte à demain quand Bernard m'appellera au bureau pour me faire son compte rendu.

Le repas est morne, Michelle est visiblement ailleurs, je ne lui pose aucune question tandis qu'elle évite mon regard et bien vite tout le monde se réfugie devant la télé où l'on peut faire pensée à part avant d'aller dormir.

Le lendemain matin je suis de bonne heure au bureau, j'ai bien fait car le téléphone ne tarde pas à sonner. Je sursaute en décrochant, je halète un « allo » et j'entends Bernard à l'autre bout du fil qui me réponds « Quelle journée hier! »

« Raconte moi! »

« La vache! Elle en a pris plein sa tasse! »

« Par qui? Combien étiez vous? »

« Oh! Je crois que nous étions douze. »

« Tu m'avais promis juste deux mecs en plus de toi!! »

« Oui je sais! Mes deux potes étaient bien la, mais il y avait d'autres types dans la boite, impossible de les contenir tous. »

« Tu veux dire que Michelle a du subir douze mecs?? »

« Heu...oui...enfin ....au moins douze oui. »

« Mais tu m'as dis qu'un jour ta femme après dix mecs sur elle ne tenait plus debout! »

« Ouais, c'est vrai et je peux te dire que ta femme s'est bien faite monter. »

« J'imagine! Dis je mi figue mi raisin »

«Mais ça s'est bien passé finalement, elle a bien du jouir une dizaine de fois, j'avoue ne pas avoir compté. J'ai même pas pu la baiser tellement il y avait du monde autour d'elle. »

« Je croyais que tu maitrisais? »

« Je sais bien, mais quand les types voient une femme arriver la dedans pour la première fois, tout le monde veut se la faire, et impossible de tout contrôler. »

« Ainsi donc au moins douze mecs l'ont sauté? »

« Oh! Oui! J'ai pas compté! »

« T'exagère quand même! »

« Je te jure qu'elle a aimé! »

« En tout cas elle faisait une tronche hier soir! »

« Elle a du bien dormir! »

« Elle dormait encore quand je suis parti. Dis moi comment les types l'ont prise? »

« Alors la, je peux te dire qu'ils lui ont tout fait, par devant par derrière, à deux, à trois, et plus encore, à un moment je ne la voyais plus tant il y a avait de mecs autour. »

« La salope! Et ....tu me dis qu'elle a aimé? »

« Oui! Sauf à un moment, il y avait un type avec une bite énorme, mais vraiment énorme, il a voulu l'enculer, la elle a gueulé et le type s'est retiré. »

« Combien de types l'ont sodomisée? »

« Je n'ai compté, mais bien la moitié des mecs de la boite. »

« Qu'est-ce qu'elle t'a dit après? »

« Après? Elle m'a dit être crevée et qu'elle voulait rentrer car il était déjà très tard. »

« C'est tout? »

« Oui c'est tout. Dans la voiture elle m'a dit avoir mal au cul mais rien d'autre. C'est une dure ta femme car je peux te dire que la mienne aurait capitulé bien avant! »

« Mais tu m'as dit que ta femme avait l'habitude... »

« Oui bin la tienne elle m'a épaté! »

« Oh! Vraiment? »

« Oui, je te jure, elle leur a tout fait ce qu'ils demandaient, sans rechigner, c'est pour ça aussi qu'elle a eu tant de succès. »

« T'appelle ça du succès?! »

« Comment veux tu que je te dise?! »

« En tout cas je pense qu'elle ne voudra plus retourner. »

« Penses tu! Elle m'a déjà demandé quand on retournait en boite! »

Je suis resté sans voix, me disait il la vérité? Voulait il me provoquer?

J'ai du attendre une semaine avant de pouvoir toucher Michelle, quand mes doigts ont effleuré son vagin, j'ai senti des lèvres intimes relâchées et quand je l'ai pénétrée, mon sexe nageait dans sa fente. J'en ai été si excité que j'ai jouir presque tout de suite. Je m'en suis excusé auprès d'elle. Michelle m'a sourit timidement en me disant que ce n'était rien, et ce fut tout pour ce soir la. Je ne lui ai pas posé de question, c'était inutile, Bernard répondait à toutes sortes de questions que je pouvais me poser au sujet de mon épouse et cela me suffisait. Je pense que de son coté, Michelle n'était pas dupe de mon mutisme, elle savait que je savais et cela l'autorisait à tout.

Désormais, j'étais le mari, juste un mari, un compagnon de route sans plus qui ne la faisait pas jouir, mais sa jouissance, Michelle l'avait quand elle voulait avec qui elle voulait.

Il lui suffisait d'appeler Bernard.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

les femmes n'aiment pas les grosses bites, ça leur fait mal

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Trés bien, ah je vais le faire lire à mon mari ça lui donnera peut-être des idées, comme j'aurais aimé être à la lace de Michelle, la veinarde, A quand ton prochain roman???

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